Comment entretenir un motoculteur thermique ?

L’accélérateur situé sur le guidon permet de faire varier la vitesse du motoculteur.

La poignée d’embrayage des roues active par pression l’accouplement des roues avec l’arbre de transmission.

Le guidon ou les mancherons servent à diriger et à commander le motoculteur.

La poignée homme mort est située sur le guidon du motoculteur. Elle permet d'assurer la sécurité et de couper le moteur lorsqu’il n’y a plus d’appui dessus.

La potence supporte les mancherons et contient tous les câbles nécessaires aux commandes présentes sur le guidon (ou mancherons).

Cette partie du motoculteur est adaptée pour recevoir divers outils pour de nouveaux travaux. Exemples : un jeu de fraises pour labourer, socs de charrues, etc.

Les masses et contrepoids présents sur le motoculteur servent à équilibrer la machine.

La courroie garantit la rotation des roues par une transmission à partir du moteur.

La manette permet de retourner les mancherons dans une position plus adaptée au travail en cours.

Le pont est le système de transmission qui transforme le mouvement de la sortie moteur à la rotation des fraises. Le mécanisme peut être des systèmes à engrenages, à chaînes, à courroies et autres.

Le motoculteur peut être équipé de beaucoup d’outils différents pour modifier le mode de travail.

Les roues, aussi appelées pneumatiques agraires, font la force des motoculteurs puisqu’ils leur permettent d’évoluer sur des terrains de mauvaise qualité tout en gardant une bonne stabilité.

Le carter est l’armature en composite sur laquelle sont fixés tous les composants du motoculteur. Sa forme complexe permet un bon équilibrage de l’ensemble.

La boîte de pont permet de choisir certaines vitesses de rotation des fraises plutôt que d’autres lors de divers travaux.

L’accélérateur situé sur le guidon permet de faire varier la vitesse du motoculteur.

La poignée d’embrayage des roues active par pressions l’accouplement des roues avec l’arbre de transmission.

Le guidon ou les mancherons servent à diriger et à commander le motoculteur.

Le kit charbon moteur assure la transmission de l’énergie électrique sur la partie rotative du moteur du motoculteur. Ils sont fixés au moteur et peuvent émettre une petite étincelle par frottement du matériau.

La poignée homme mort est située sur le guidon du motoculteur. Elle permet d'assurer la sécurité et de couper le moteur lorsqu’il n’y a plus d’appui dessus.

Le câble d'alimentation du motoculteur électrique permet d'alimenter en énergie électrique le circuit de commande de la machine ou d'éventuelles batteries.

Cette partie du motoculteur est adaptée pour recevoir divers outils pour de nouveaux travaux. Exemples : un jeu de fraises pour labourer, socs de charrues, etc.

La potence supporte les mancherons et contient tous les câbles nécessaires aux commandes présentes sur le guidon (ou mancherons).

Le condensateur est un élément de la partie allumage du motoculteur. Il sert à diminuer la production d’étincelles au niveau des rupteurs.

Le moteur électrique convertit une impulsion d’allumage en énergie mécanique par l’intermédiaire d’un stator et d’un rotor mis en mouvement par magnétisme. Le moteur permet de transformer un courant électrique en mouvement de rotation transmis au vilebrequin.

Les masses et contrepoids présents sur le motoculteur servent à équilibrer la machine

La courroie garantit la rotation des roues par une transmission à partir du moteur.

La manette permet de retourner les mancherons dans une position plus adaptée au travail en cours.

Le pont est le système de transmission qui transforme le mouvement de la sortie moteur à la rotation des fraises. Le mécanisme peut être des systèmes à engrenages, à chaînes, à courroies et autres.

Le motoculteur peut être équipé de beaucoup d’outils différents pour changer de mode de travail.

Les roues, aussi appelées pneumatiques agraires, font la force des motoculteurs puisqu’ils leur permettent d’évoluer sur des terrains de mauvaise qualité tout en gardant une bonne stabilité.

Le carter est l’armature en composite sur laquelle sont fixés tous les composants du motoculteur. Sa forme complexe permet un bon équilibrage de l’ensemble.

La batterie permet d’alimenter le moteur en courant électrique pendant le temps de fonctionnement du motoculteur.

La boîte de pont permet de choisir certaines vitesses de rotation des fraises plutôt que d’autres lors de divers travaux.

Le filtre à carburant est situé entre le réservoir et le carburateur afin de ne pas laisser passer les éventuelles impuretés présentes dans le réservoir.

Le réservoir d’essence est situé contre le moteur et le carburateur. Il permet de stocker l’essence nécessaire au fonctionnement du motoculteur.

Le lanceur permet de démarrer le moteur du motoculteur thermique. Il est constitué d’une poignée, d’un cordon enroulé autour d’une poulie et de cliquets pour l’embrayage.

Le filtre à air, sur les motoculteurs thermiques, sert à filtrer les impuretés présentes dans l’air pour ne pas endommager le moteur lors de l’admission des gaz.

Le carburateur du motoculteur thermique permet le dosage des gaz avant l’admission dans le moteur. Le réglage se fait en vissant/dévissant la vis de ralenti, la vis d’air et le gicleur de ralenti.

Le moteur (2 ou 4 temps) est situé à l’endroit où l’on insère la bougie. Il est constitué de trois parties : - La culasse - Le bloc cylindre - Le carter moteur Le moteur permet de transformer un courant électrique en mouvement de rotation transmis au vilebrequin.

Le réservoir d’huile est situé contre le moteur. Il permet de stocker l’huile nécessaire à la lubrification du bloc moteur.

Le filtre à huile est situé en sortie du réservoir d’huile afin de ne pas laisser passer les éventuelles impuretés présentes dans le réservoir.

Les rupteurs font partie du système d’allumage du motoculteur. Ils permettent de créer des brèves coupures de courant qui par induction d’un courant de haute tension dans la bougie d’allumage, produisent des étincelles aux bougies.

La bougie du motoculteur thermique fait partie du système d’allumage. L’étincelle qu’elle produit permet la phase d’explosion du moteur. Elle est fixée sur la chambre de combustion du moteur par l’intermédiaire d’un fil noir (l’antiparasite) dans lequel circule le courant.

L’échappement d’un motoculteur est placé en sortie de la chambre de combustion du moteur. Son rôle est d’abaisser la température et la vitesse des gaz brûlés lors de la combustion. L’échappement est souvent composé d’un silencieux et d’un pare-étincelles.

L’antiparasite est le coude en caoutchouc qui supporte la bougie. Cette pièce en matériau isolant annule les champs magnétiques dus aux fortes décharges électriques en sortie de bougie.